Les aigles, batailles napoléoniennes

Sorauren 27 juillet 1813

Soult donne au général Foy l'ordre de déborder les anglais par la gauche.
Wellington, occupé à défendre Sauroren, demande général Picton de tenir.
Foy contrôle 2 divisions de fantassins, 3 régiments de cavalerie et 1 batterie à pied.
Picton commande à 2 brigades anglaises, 1 brigade de portugais, 2 régiments de hussards, 2 régiments de dragons lourds et 2 batteries.
Les français prennent tout de suite l'initiative en lançant la cavalerie sur la gauche pour déborder la droite anglaise alors que les deux brigades de fantassins fixes les anglais.
Les anglais décident de porter leurs efforts sur la gauche avec la brigade portugaise et la cavalerie lourde. 0 droite ils acceptent le duel de cavalerie. Au centre la première brigade attend en position de force sur la colline alors que la deuxième brigade est complètement désorganisée par des manoeuvres compliquées.
La cavalerie française bouscule les anglais à gauche. Sur leur flanc droit, ils réussissent à bloquer la cavalerie lourde anglaise dans le ruisseau par un tir nourrit. Alors qu'elle se réorganise, un régiment de cavalerie légère françaises les prend de flanc. Mais alors que les portugais menacent la droite française et que les dragons lourds reprennent du poil de la bête, Wellington les rappelle pour contrer Soult, ils quittent donc le champ de bataille.
C'est le moment que choisit le centre français pour enfoncer le clou. Mais mal coordonné avec la cavalerie ils se font repousser.
Sur la gauche française les cavalier anglais se replient. Au lieu de les poursuivre, la cavalerie française ce tourne vers le première brigade anglaise qui est bousculée. Mais la cavalerie légère anglaise se reorend et charge pour soutenir la première brigade.
Au final les français n'ont pas réussit à déloger les anglais et doivent se replier pour ne pas être débordés.
C'est une victoire tactique pour les anglais.

Le général De la Pierretayet occupait le village de vilmeiro. Les éclaireurs lui ayant apprit qu'une division anglaise arrivait de l'est il envoya une dépêche à son général d'armée. Ce dernier lui dépêcha une division de cavalerie pour le soutenir.
Les anglais prirent très vite la ferme au nord du village et la colline dominant les bois du sud. réussissant à fixer les français sur les ailes le général Graeme Allwright, dont tout Londres connait son penchant pour le brandy, concentre ses efforts sur le village.
Les français sont malmenés mais tiennent bon. Ils semblent en difficulté au sud. Mais une manoeuvre hasardeuses fait manquer son objectif à un charge de la cavalerie lourde.
La bataille semble pour l'instant incertaine. Suite ce soir.

La suite ne fut que la conclusion de la première partie de la bataille. Les français ont réussis à limiter la caisse sur leur aile droite alors qu'ils se rendait maître de l'aile gauche. Les anglais n'ayant pu forcer la décision au centre et le soir venant, ils ont du abandonner au français le terrain. C'est une victoire tactgique des français.